bon mes Topains, tellement ils sont cool , qu'ils m envoient des chouette trucs , et des fois j'oubie alors aujourdhu cest un liens special Topains a Fab. yo!
Jerome m'as fait parvenir ce message realiste et Amusant .....
Aujourd'hui nous déplorons le décès d'un ami très cher qui se nommait "Bon Sens" et qui a vécu parmi nous depuis de longues années.
Personne ne connaît exactement son âge, car les registres de naissances ont été perdus il y a bien longtemps dans les méandres de la bureaucratie.
On se souvient de lui pour des leçons de vie, comme "La journée appartient à celui qui se lève tôt ", "Il ne faut pas tout attendre des autres" et "Ce qui arrive est peut-être de MA faute".
" Bon Sens " vivait avec des règles simples et pratiques, comme "Ne pas dépenser plus que ce que l'on a", et des principes éducatifs clairs, comme "Ce sont les parents, et non les enfants, qui décident ".
" Bon Sens " a perdu pied quand des parents ont attaqué des professeurs pour avoir fait leur travail en voulant apprendre aux enfants les bonnes manières et le respect. Un enseignant renvoyé, pour avoir réprimandé un élève trop excité, a encore aggravé l'état de santé de " Bon Sens ".
Il s'est encore plus détérioré quand les écoles ont dû demander et obtenir une autorisation parentale pour mettre un pansement sur le petit bobo d'un élève, sans pouvoir informer les parents de dangers bien plus graves encourus par l'enfant.
" Bon Sens " a perdu la volonté de survivre quand des criminels recevaient un meilleur traitement que leurs victimes. Il a encore pris des coups quand cela devint répréhensible de se défendre contre un voleur dans sa propre maison et que le voleur pouvait porter plainte pour agression.
" Bon Sens " a définitivement perdu sa foi quand une femme qui n'avait pas réalisé qu'une tasse de café bouillante était chaude, en a renversé une petite goutte sur sa jambe, et pour cela a perçu une indemnisation colossale.
La mort de " Bon Sens " a été précédée par celle de ses parents: Vérité et Confiance, de celle de sa femme Discrétion, de celle de sa fille Responsabilité ainsi que de celle de son fils Raison.
Il laisse toute la place à ses trois faux frères: "Je connais mes droits", "C'est la faute de l'Autre" et "Je suis une victime".
Il n' y avait pas foule à son enterrement car il n' y a plus beaucoup de personnes pour se rendre compte qu'il est parti. Si vous vous souvenez de lui, faites circuler cette lettre, sinon ne faites rien!
Merci touf pour cette tite videos cool olograme. Excellent
et Mon ami Fred Lev autre lecteur assidue nous fais part d un blog OnPaperClip.
De la part de Mr Landru : Bulles de savon de tom Noddy , Incroyable machine. top moumoutte
Voili c tous pour le moment je vous prepare un ti post mechament long pou rl a prochaine fois .
1 commentaire:
Aujourd'hui nous déplorons le décès d'un ami très cher qui se nommait
"Bon Sens" et qui a vécu parmi nous depuis de longues années.
(Allons bon, toutes mes condoléances…)
Personne ne connaît exactement son âge, car les registres de naissances ont été perdus il y a bien longtemps dans les méandres de la bureaucratie.
(Et une petite attaque gratos.)
On se souvient de lui pour des leçons de vie, comme "La journée appartient à celui qui se lève tôt ", "Il ne faut pas tout attendre des autres" et "Ce qui arrive est peut-être de MA faute".
(Ou encore : « mes couilles sur ton nez… »)
" Bon Sens " vivait avec des règles simples et pratiques, comme "Ne pas dépenser plus que ce que l'on a", et des principes éducatifs clairs, comme "Ce sont les parents, et non les enfants, qui décident ".
(Pendant qu’on y est : « qui aime bien châtie bien » aussi.)
" Bon Sens " a perdu pied quand des parents ont attaqué des professeurs pour avoir fait leur travail en voulant apprendre aux enfants les bonnes manières et le respect.
Il y a eu des attaques contre des profs qui enseignaient cela ? Jamais entendu parler. Des plaintes pour maltraitance physique ou morale oui, mais il ne me semble pas que nous soyons alors dans le même registre…
Un enseignant renvoyé, pour avoir réprimandé un élève trop excité, a encore aggravé l'état de santé de " Bon Sens ".
(Ben voyons…)
Il s'est encore plus détérioré quand les écoles ont dû demander et obtenir une autorisation parentale pour mettre un pansement sur le petit bobo d'un élève, sans pouvoir informer les parents de dangers bien plus graves encourus par l'enfant.
(Phrase qui n’a pas de sens, surtout après la virgule.)
" Bon Sens " a perdu la volonté de survivre quand des criminels recevaient un meilleur traitement que leurs victimes.
« Bon sens » voulait-il rétablir la peine de mort contre les criminels ? Et si le criminel avait tué par simple balle, « bon sens » voulait-il que l’on torture le criminel avant de l’exécuter, pour que sa mort soit pire (en opposition au « meilleur traitement ») que celle de sa victime ?
Il a encore pris des coups quand cela devint répréhensible de se défendre contre un voleur dans sa propre maison et que le voleur pouvait porter plainte pour agression.
Y’a une loi qui parle du concept de « légitime défense », après on va pas non plus soutenir le quidam qui bute un clochard qui lui vole trois radis d’un coup de chevrotine…non ?
" Bon Sens " a définitivement perdu sa foi quand une femme qui n'avait pas réalisé qu'une tasse de café bouillante était chaude, en a renversé une petite goutte sur sa jambe, et pour cela a perçu une indemnisation colossale.
Jambe bouillue…
La mort de " Bon Sens " a été précédée par celle de ses parents: Vérité et Confiance, de celle de sa femme Discrétion, de celle de sa fille Responsabilité ainsi que de celle de son fils Raison.
Sans oublier « Travail », « Famille », et « Patrie », des cousins très proches.
Il laisse toute la place à ses trois faux frères: "Je connais mes droits", "C'est la faute de l'Autre" et "Je suis une victime".
Si bon sens voulait dénoncer la société de victimisation, il n’était pas obligé de le faire avec de vieux relents réactionnaires. On aurait alors pu discuter lui et moi.
Il n' y avait pas foule à son enterrement car il n' y a plus beaucoup de personnes pour se rendre compte qu'il est parti. Si vous vous souvenez de lui, faites circuler cette lettre, sinon ne faites rien!
« Bon sens » et moi nous sommes fâchés le jour où il a commencé à virer un peu trop nostalgique, quand « le pensionnat de Chavagnes » lui rappelait la bonne époque et qu’il a commencé à s’opposer un peu trop à mon ami « jouissance » et à mon copain « plaisir ».
Pas loin de nous traînent, il est vrai, les mauvais garçons « consommation » et « moi d’abord » mais leur compagnie nous sera toujours plus agréable que celle de « restriction » et de son pote « tous pareils ». Alors, quand « Bon sens » s’est voulu garant de son père « morale « , se mettant à balancer des leçons de vie dur le net, j’ai décidé d’y répondre à ma façon.
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